Une expérience violente et soudaine catalyse un lien improbable entre deux migrants de la communauté chinoise du Queens. Naviguant dans des vies loin de chez eux et du travail pénible qui les soutient, ils traversent ensemble le chagrin dans l’espoir de trouver une famille.
Auteur/autrice : First Hand Films
My Sunshine
Sur une petite île japonaise, la vie tourne autour des changements de saison. L’hiver, c’est l’heure du hockey sur glace à l’école, mais Takuya n’est pas très enthousiaste. Son véritable intérêt se porte sur Sakura, une étoile montante du patinage artistique originaire de Tokyo, pour laquelle il commence à développer une véritable fascination. L’entraîneur et ancien champion Arakawa décèle le potentiel de Takuya et décide de l’encadrer pour qu’il forme un duo avec Sakura lors d’une prochaine compétition. Alors que l’hiver persiste, les sentiments grandissent et les deux enfants forment un lien harmonieux. Mais même la première neige finit par fondre.
The Shameless
Renuka s’enfuit d’une maison close de Delhi en pleine nuit après avoir poignardé un policier. Elle prend le nom d’une déesse hindoue et est contrainte de se réfugier dans une communauté de prostituées dans une petite ville du nord de l’Inde. C’est là qu’elle fait la connaissance de Devika, une jeune femme qui rêve de devenir rappeuse, mais qui est condamnée par sa caste à une vie de travailleuse du sexe devadasi.
Renuka s’est depuis longtemps détachée du mode de pensée patriarcal de la société indienne, même si elle y gagne sa vie pour joindre les deux bouts. Devika est contrainte de vivre dans ces structures et de s’y soumettre.
Une romance interdite se développe entre Renuka et Devika, ce qui engendre des conflits.
Les deux femmes peuvent-elles s’échapper ensemble ? Peuvent-elles se libérer des formes violentes de contrôle masculin et de la réalité sociale ? Et où leur voyage les mènera-t-il ?
Dans le thriller de Konstantin Bonjanov, les héroïnes sont profondément désillusionnées par l’autre sexe, se libèrent de sa présence dans leur vie et se permettent, en tant que femmes sans pudeur, de ne tenir compte de rien ni de personne, voire de tuer, si nécessaire, ceux qui, en tant que dominateurs sans vergogne, ne leur laissent pas d’autre choix.
Naître Svetlana Staline
1967, en pleine guerre froide, la fille unique de Joseph Staline, Svetlana, se rend à l’ambassade américaine de New-Dehli et demande l’asile. Elle laisse derrière elle son pays et ses deux enfants. A l’Est comme à l’Ouest, le choc est immense. Géopolitiquement, l’affaire est ultra-sensible : pris de panique, le président américain Lyndon Johnson la cache en Suisse romande, où elle sera hébergée par des religieuses. Poursuivie par la presse, le KGB et de nombreux admirateurs, Svetlana ne cessera de fuir tout au long de sa vie. Du sommet de l’empire soviétique à la solitude et à la pauvreté de ses dernières années dans un foyer du Wisconsin, le film retrace le destin de cette femme résolument libre, grain de sable dans les rouages étatiques des deux blocs.
Riverboom
Riverboom, c’est l’odyssée déjantée de trois jeunes reporters de guerre dans le chaos Afghan, peu après les attentats du 11 septembre 2001.
Serge, un journaliste bourreau de travail ; Paolo, un photographe aussi jovial qu’inconscient ; et Claude, un typographe suisse d’une prudence maladive.
Embarqué dans cette aventure malgré lui, Claude achète une caméra vidéo au bazar de Kaboul pour filmer cette folle équipée qui va changer sa vie … avant de perdre les cassettes pendant vingt ans.
Un road-movie palpitant, une tragi-comédie documentaire pleine d’humour et d’autodérision. Jubilatoire !
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Reporters sans frontières | Le Temps | Payot | RTS
Voici toutes les représentations toujours actuelles
Life is Beautiful – Al Haya Helwa
Palestinian filmmaker Mohamed Jabaly insists on telling stories from his hometown Gaza sharing his own experiences and perspectives, not accepting the boundaries imposed by international politics and rigid bureaucracy. Stuck in the cold and dark arctic of Northern Norway, only able to connect to his family online, he manages to activate his own creativity and the support from his friends to keep up his motto LIFE IS BEAUTIFUL.
Follow us #ICarus
Andreas und Daniel teilen nicht nur eine lebenslange Freundschaft, sondern auch ihre Ausbildung zum Automechaniker in der pittoresken Garage von Herisau. Doch während Andreas in der Welt der Motoren aufblüht, fühlt sich Daniel in seiner Ausbildung gefangen. Sein wahrer Traum ist es, als Influencer die Welt zu erobern. Um spektakulären Content für seine Follower zu kreieren, lässt er sich von Andreas bei waghalsigen Stunts filmen.
Doch in ihrem Streben nach dem nächsten aufregenden Moment verlieren die beiden Freunde den Bezug zur Realität. Auf der Jagd nach dem ultimativen « Thrill » stürzen sie sich in gefährliche Situationen und verfallen immer mehr dem Sog von Drogen. Die Grenze zwischen ihrem eigenen Leben und den inszenierten Abenteuern verschwimmt zusehends.
Inmitten des Rauschs und der sich überschlagenden Ereignisse kommt es zu einem tragischen Zwischenfall, der nicht nur ihre Freundschaft auf die Probe stellt, sondern auch ihr gesamtes Leben auf den Kopf stellt. Während die beiden nach Antworten suchen, erkennen sie, dass ihre Suche nach Extremen nicht nur ihren emotionalen, sondern auch ihren physischen Zustand auf eine harte Probe gestellt hat. Eine Geschichte über Freundschaft, Selbstfindung und die gefährlichen Abgründe, die sich auftun, wenn man die Realität aus den Augen verliert.
Omegäng
Tauche ein „zmitzt“ in die faszinierende Welt unseres Dialekts und entdecke, warum er trotz der Globalisierung weiterhin blüht. Vor 160 Jahren, während des « Eisenbahnzeitalters », fürchtete die Deutschschweiz den Verlust ihres Dialekts zugunsten des Hochdeutschen. Doch heute erleben wir das Gegenteil – der Dialekt bleibt lebendig und vielfältig.
Begegne herausragenden Mundartkünstlerinnen und Künstlern wie Franz Hohler und Big Zis. Sie und andere Personen aus Wissenschaft, Politik, Musik und Dörfern setzen sich im Film OMEGÄNG auf einzigartige und akribische Weise mit unserem Dialekt auseinander. Von Bühnen über Kellerräume bis zu den majestätischen Alpen – diese Menschen alle tragen dazu bei, dass unsere Sprache weiterhin gedeiht.
Erfahre erstaunliches über die Bedeutung von « omegäng » – einem vergessenen berndeutschen Dialektwort – und komm mit auf eine fesselnden Reise durch die moderne und alpine Deutschschweiz. Triff Menschen, die sich kreativ mit dem Schweizer Dialekt befassen, sei es stöbernd in alten Archiven, wo tausende Flüche schlummern, oder auf den Bühnen unseres Landes, wo Mundart als feministische Poesie messerscharfe Kritik übt, oder in die Dörfer wo « omegäng » noch immer gebraucht wird.
Wir werfen einen faszinierenden Blick auf sprachliche Veränderungen, die einerseits nostalgisch stimmen, andererseits aber auch gesellschaftliche Sprengkraft haben. Sei Teil dieser mitreissenden Reise durch unsere vielfältige Sprachlandschaft!
Franz Hohler – Franz Hohler ist ein Schweizer Schriftsteller, Kabarettist und Liedermacher.
Big Zis – Big Zis ist eine Schweizer Rapperin aus Winterthur im Kanton Zürich.
Pedro Lenz – Pedro Lenz ist ein Schweizer Schriftsteller, der meist in Mundart schreibt und vorträgt.
Alwa Alibi – Alwa Alibi ist eine Berner Rapperin, welche mit Mundart-Rap ihre Gedanken und Erfahrungen teilt.
Cachita – Die Rapperin und Muskerin verbindet in ihren Texten Englisch, Spanisch und Schweizerdeutsch.
Simone Felber – Mezzosopranistin, Leitung des Jodler:innenchors Echo vom Eierstock
Nadia Zollinger – Betreibt den Podcast «Dini Mundart»: Als Kämpferin für den Dialekt
Markus Gasser – Betreibt den Podcast «Dini Mundart»: Als Kämpfer für den Dialekt
Christoph Landolt – Chefredaktor Schweizerisches Idiotikon
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Schweizerdeutsch.Info | Orell Füssli
Hier alle Vorstellungen immer aktuell
Si seulement je pouvais hiberner
Lauréat du prix du public au Festival du film Diritti Umani Lugano
Loin de tout romantisme de voyage, la réalisatrice mongole Zoljargal Purevdash raconte avec beaucoup d’humour et d’espoir l’histoire d’un adolescent talentueux qui doit assumer la responsabilité de sa famille.
Ulzii, un adolescent sans ressources mais très doué et fier de l’être, vit avec sa famille dans le quartier des yourtes d’Ulaanbaatar. Il peut prouver son talent scolaire exceptionnel lors d’un concours de physique, ce qui signifie une bourse et une perspective d’avenir. Mais il doit d’abord faire traverser l’hiver glacial à ses frères et sœurs et accepter pour cela un travail risqué.
La réalisatrice mongole Zoljargal Purevdash raconte avec un regard sans concession l’histoire du coming-of-age d’un adolescent pragmatique, loin de tout romantisme, dans le froid impitoyable de la Mongolie, tout en trouvant humour et chaleur dans le quotidien de la famille.
Ce récit lui a assuré une place au Festival de Cannes de cette année, en tant que premier film mongol de l’histoire du festival.
« Une première œuvre pleine d’assurance » Screendaily
« SI SEULEMENT JE POUVAIS HIBERNER met en lumière non seulement le fossé entre la ville et la campagne, mais aussi les disparités socio-économiques au sein de la métropole » View of the Arts
« Honnête et touchant » View of the Arts
« SI SEULEMENT JE POUVAIS HIBERNER est un drame social sans détour avec une référence locale, un rayonnement universel et beaucoup de cœur » View of the Arts
« Une histoire captivante de coming-of-age sur les privations et l’ambition » A Good Movie to Watch
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Mandach Naran
La Sirène
Un regard sur le siège d’Abadan en 1980 à travers le pouvoir d’abstraction et de guérison de l’animation.
1980, Abadan. La capitale de l’industrie pétrolière iranienne résiste à un siège irakien. Omid, quatorze ans, a bravé le siège et est resté dans la ville avec son grand-père en attendant le retour de son frère aîné du front. Avec Omid, toute une série de personnalités extraordinaires sont restées dans la ville, chacune avec ses propres raisons et résistant à sa manière. Mais l’étau se resserre lorsqu’Omid tente de sauver ses nouvelles connaissances à l’aide d’un bateau abandonné qu’il trouve dans le port et qui devient son arche.
Sepideh Farsi a utilisé le pouvoir d’abstraction et de guérison de l’animation pour créer un conte d’aventures débordant d’optimisme, qui place les femmes et les marginaux sociaux comme acteurs silencieux d’une guerre qui avait déjà commencé avant les attaques irakiennes avec la révolution islamique en Iran.